OpenSports une application internationale qui permet aux joueurs de pratiquer leur sport favori même lorsqu’ils sont loin de chez eux.
J’étais à Toronto, je voulais faire du sport et rencontrer des personnes qui vivaient la même expérience que moi dans un pays étranger. Je me suis servi de l’application OpenSports pour faire du sport et faire de nouvelles rencontres ! J’ai organisé un match de foot et utiliser les groupes Facebook d’expatriés à Toronto dont je faisais partie pour trouver des participants. Vous pouvez cet article dans lequel je raconte comment j’ai organiser mon premier événement sur OpenSports !
Cette expérience m’a permi de comprendre que la force d’OpenSports allait bien plus loin que le simple fait de gérer un groupe de sport ou d’organiser des événements. C’est une application qui permet aux sportifs de se rencontrer et de se rassembler, et surtout, de se connecter entre eux !
En organisant ce match de foot, j’ai rencontré de nouvelles personnes et je me suis faite de nouveaux amis à Toronto. Ces rencontres m’ont permis de me sentir moins seule dans une ville où je ne connaissais personne. Par la suite, j’ai eu l’occasion de les revoir, de partager d’autres moments avec eux, comme manger avec eux après les matchs, et se sont devenu de vrais amis !
Dans les grandes villes, il y a toujours pleins de jeunes personnes qui viennent de pays étrangers, qui sont seules et qui veulent faire de nouvelles rencontres. Alors, imaginez si dans chaque ville du monde il y a un groupe sur OpenSports qui permet à ces nouveaux arrivants, à la fois de faire du sport, et en plus de rencontrer de nouvelles personnes ! Ce n’est pas facile d’arriver dans un nouveau pays ou une nouvelle ville. Ce genre de groupe sur OpenSports pourrait faciliter leur intégration !
Organiser un match de foot, de basket, ou de volleyball avec des joueurs du monde entier, c’est comme faire un grand voyage international en un match !
Tout cela me rappelle une citation du philosophe grec Plato : “On peut en savoir plus sur quelqu’un en une heure de jeu qu’en une année de conversation.”
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